[Candidature] TefaaL [Refusé] [Plagiat]

TefaaL Sam 25 Mai - 22:43

A PROPOS DE VOUS :

- Votre prénom : Je m'appelle Léopold !
- Votre âge : 15 ans
- Votre région et/ou votre pays : J'habite en Bretagne, Morbihan
- Vos Études ou votre Métier : Je suis actuellement en 3e, Anglais LV1, Esapgnol LV2 et Football en option.
- Vos centres d’intérêts : J'aime évidemment les jeux vidéos (Tomb Raider, Assassin's Creed, Wow, Skyrim, League of Legend, j'aime aussi le football, les films (je suis fan de Tim Burton et de son univers) et les séries (en ce moment je regarde The Big Bang Theory)

JEU & COMMUNAUTE

- Votre pseudo sur Minecraft : TefaaL
- Depuis combien de temps jouez-vous à Minecraft (version) : J'ai commencé à jouer il y environ un an ; version 1.2.4 il me semble.
- Quelles sont vos disponibilités, vos heures de connexion : Je je ne me connecte que le week-end et pendant les vacances car je suis en internat, les heures où je me connecte sont diverses car je joue également a League of legend
- Quelles sont vos spécialités en tant que Minecrafteur : J'adore jouer a l'arc ou tout simplement le pvp
- Avez-vous déjà joué sur d’autres serveurs ? Si oui le(s)quel(s) : J'ai joué sur un serveur nommé Eldrim
- Avez-vous déjà été modérateur ou administrateur sur un serveur, Si oui le(s)quel(s) :Non je ne l'ai jamais été.
- Pourquoi avez-vous quitté votre ancien serveur : Il y a une nouvelle adresse, je ne peux plus me connecter.
- Où avez vous trouvé l'IP de Claïria : Je l'ai trouver en recherchent des serveurs dans une liste de serveurs français
- D’après-vous, quelles sont les qualités requises pour être un bon joueur : Il faut être Fair-play mais quand meme malin et il faut avoir un bon état d'esprit ( accepter les autres et les aidés!
- Quelles sont vos attentes, tant au niveau du jeu que de la communauté : Comme tout le monde, me faire plaisir et me détendre, rencontrer de nouveaux joueurs, me faire une place au sein du serveur !
- Avez-vous pris connaissance du règlement de Claïria, si oui, l’ approuvez-vous ? J'ai lu et j'approuve le règlement de Claïria.

- L’HISTOIRE DE VOTRE PERSONNAGE (RP) :

-Hé, toi là ! Sors de ma taverne, avant que je ne te coupe les oreilles !
J'ouvre la bouche, sur le point de protester, mais me ravise. Je suis censée passer inaperçue, alors autant éviter de contrarier toute la vallée. En prenant soin de garder la tête baissée, je me lève silencieusement, et quitte l'endroit, sentant les regards des clients me vriller le dos.
Une fois dehors, j'inspire profondément l'air du soir, désormais débarrassé des effluves de bière et de sueur. Je vérifie que je suis seule dans la ruelle en jetant un coup d’œil méfiant à droite et à gauche ; personne à l'horizon. Je lève alors les yeux au ciel et offre mon visage à la pâle lueur de l'astre de nuit, rond et plein. J'observe ses lueurs bleutées ; la Lune m'a toujours fascinée. Je me souviens qu'enfant je l'admirais aux côtés de mon père, après qu'il m'ait donnée un long cours d'une après-midi qui visait à m'apprendre à manier le couteau ou l'arc. Je n'avais jamais aimé les armes, j'étais jeune et il faisait un professeur dur et exigeant. Mais peu à peu, j'avais appris à aimer ces séances, à la fois parce que je m'améliorais et parce que c'était le seul moyen que j'avais trouvé pour me rapprocher de mon propre père.

Je sortis de ma rêverie, rabaissai mon capuchon de toile grise épaisse et rugueuse, et m'engageai plus loin dans les ruelles en longeant les murs, à l'affût. J'avais acquis en seulement quelques jours l'art de me méfier de tout et de tous, d'être attentive au moindre mouvement et au moindre bruit, comme si mes sens s'étaient affinés de manière tangible en si peu de temps. Au bout de quelques minutes, seul le son apaisant du faible vent me parvint ; j'étais enfin totalement seule, et cette solitude était la bienvenue. Je glissai les yeux de maison en maison : toutes semblaient vielles et décrépies ; leurs ouvertures étaient condamnées par des planches de bois pourri, visiblement clouées à la hâte. Pendant un instant, je me demandai vaguement pourquoi ce quartier avait-il était abandonné, mais me rendis compte que cela ne m'importais pas. Je m'approchai d'une maison aux pierres grises qui semblait sur le point de s’effondrer, et passai ma main entre deux planches ; j'en arrachai deux ou trois en priant pour ne pas faire trop de bruit, et me glissai dans la masure par le passage que je venais ainsi de créer. Tout était sombre, et l'on ne distinguait que de grandes toiles d'araignées, toutes plus ou moins enchevêtrées les unes avec les autres. Mais les meubles étaient encore là. L'espace était tellement limité que je trouvais le lit sans mal ; je pris dans mes mains la maigre couverture qui le couvrait et l'agitai vigoureusement, en me retenant d'éternuer à cause de toute la poussière qui en émanait. Oh et puis, ce n'était pas le moment de faire la fine bouche. Je posai ma trouvaille directement sur le sol et m'allongeai aussitôt. Le silence et le manque de sommeil aidant, je me mis invariablement à songer à ma situation.

Je repensai à la série de meurtres qui avait eu lieu environ une semaine plus tôt, dans mon petit village natal, Aspen. Les villageois apeurés et assoiffés de vengeance avaient réclamé un coupable ; le conseil n'avait cependant aucun indice permettant de mener au moindre suspect. Et pourtant, il fallut livrer un nom pour apaiser le peuple, peu importe s'il était réellement coupable. Et puis, tout le monde était coupable de quelque chose. Alors, les hommes qui dirigeaient le village et que je croyais si sages s'en remirent aux préjugés et aux apparences. C'est à ce moment précis que mes yeux vairons, qui n'avaient jusqu'alors jamais dérangé personne, devinrent la preuve implacable que j'étais la personne à punir pour les récents crimes. Et pour mes voisins et mes amis, il devint tout naturel qu'il ne pouvait s'agir que de la marque qu'aurait apposé sur moi le Diable en personne. On m'accusa d'être une sorcière noire, disciple d'un démon quelconque, et d'avoir tué ces gens dans le but d'offrir leurs corps et leurs âmes en sacrifice à mon maître. Le conseil vota immédiatement ma sentence, qui fût sans surprise et à l'unanimité la mise à mort pure et simple. J'étais donc destinée à être immolée par le feu sur la place publique au petit matin, comme au temps de la chasse à la sorcière. Mon père était membre du conseil.
Mon esprit se bloqua un instant ; je n'arrivais toujours pas à réaliser qu'il avait consenti à l'exécution de sa propre fille.

La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre de creeper, et je dû m'enfuir dès que la nuit fût tombée ; il était question de mon salut, et c'est pourquoi je n'avais pas hésité une seconde, n'emportant avec moi que mon coutelas préféré et une cape grise que je tenais de mon arrière grand-mère.

Ici commença ma cavale ; mon nom était désormais connu à travers toute la vallée, et des affiches qui mettaient ma tête à prix étaient placardées dans chaque recoin du territoire. On y voyait un dessin grossier de mon visage, qui déformait mes traits en ceux d'une prêtresse maléfique et malveillante. On lisait en dessous « ElweenMara, morte ou vive. Prime : 75 000 octets. ». Ces affiches me remplissaient d'amertume et d'un sentiment de dégoût , et je ne manquais jamais d’arracher chacune de celles qui croisaient ma route.
Voilà pourquoi j'étais obligée de cacher mon visage et mes yeux si reconnaissables. Malheureusement, mon capuchon gris et mon mutisme obstiné n'inspiraient pas non plus confiance, et je me voyais obligée de quitter chaque endroit où j’osais mettre les pieds, comme ce soir avec cette taverne.

Des images de corps ensanglantés, d'affiches trompeuses et du visage de mon père finirent par tournoyer dans mon esprit, de plus en plus floues. Bientôt, plus aucune pensée cohérente ne me parvint, et je sombrai enfin dans un sommeil lourd.

Je fus réveillée par une douce odeur de fumée. Je me retournai en m'étirant, les yeux toujours clos. Je me sentais encore très fatiguée, et mon horloge interne me souffla que je n'avais dormis qu'une paire d'heures seulement. J’émergeai alors brusquement de mon demi-sommeil alors que les éléments s'imbriquaient les uns dans les autres, tentant de m'avertir du danger. Je bondis sur mes pieds ; des flammes léchaient impitoyablement les toiles d'araignées, les restes de tissus mités et les boiseries en ruines. Je savais que la fumée me tuerait avant même que je ne puisse me frayer un nouveau passage à travers les planches, et je m’élançai donc à l'instinct vers l'entrée que j'avais faite la veille, malgré le feu qui me barrait la route. Je sortis de la maison en effectuant une roulade pour étouffer les flammes qui commençaient à ronger mes vêtements. Sans prendre le temps de respirer, je me mise à courir le plus vite que je pouvais, dans l'idée de ne m'arrêter qu'une fois complètement vidée de toute énergie. C'est en effet ce qu'il se passa, et je finis par m’effondrer, épuisée, aux portes d'une cité que je connaissais pas.

-Tu crois qu'elle est vivante ?
-Bien sûr, puisqu'elle respire.
-En tout cas elle est dans un sale état.
-Silence !
Des voix me parvenaient comme dans un rêve...j’entrouvris les yeux avant de les protéger brusquement de ma main, assaillie par une lumière aveuglante.
Plusieurs visages se penchèrent d'un même mouvement sur moi ; tous me dévisageaient. Je portai la main à mon coutelas, m'attendant à ce qu'on me reconnaisse et qu'on m'attaque. Mais il n'en fût rien, et je laissai tomber ma main vide sur le lit inconnu où j'étais étendue. Je regardai à mon tour d'un air effaré les gens qui me surplombaient ; serait-il possible qu'ici on ne sache pas qui je suis ? Mes espérances furent immédiatement confirmées :
-Bonjour l'inconnue ! Moi c'est Rid. Et là...c'est les autres, fit l'un d'entre eux avec un geste évasif de la main. Bienvenue à Claïria !

Voilà comment ma cavale pris fin et qu'une nouvelle vie s'offrit à moi.

UTILITAIRES :

- Possédez-vous un micro ? Oui !
- Si oui, pouvez-vous être accessible sur TeamSpeak? Oui, j'ai un teamspeak.
- Avez-vous un compte skype ? (ne pas communiquer d’adresse sur le forum, merci, une simple réponse suffit) : Oui.

Merci d'avoir pris le temps de lire !
TefaaL

TefaaL
Recrue

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Date d'inscription: 25/05/2013
Age: 15

Invité Dim 26 Mai - 1:38

Tient tient tient... Ce rp me dit quelque chose... Mais bien sur, c'est celui de notre chère ElweenMara... En d'autres termes, le plagiat est interdit, je te conseille de te corriger très vite ou la sentence divine d'EL RORO DE LA MANCHA ou de l'horrible RORINATOR s’abattra sur toi !