[Candidature]Dedale83 [Accepté]

 
A propos de vous :
          Je m'appelle Corentin Bastide, j'ai dix-sept ans. Je vis à Gonfaron, petit village de Provence, dans le var(83). Je suis actuellement en deuxième année de bac pro SEN (Système Électronique Numérique) pour devenir Level Designer c'est-à-dire :  www.jcomjeune.com/article-metier/level-designer
           Maintenant une petite description de moi. Certaines personnes pourraient me trouver fou ou encore Déjanté, mais je suis juste Heureux. Je suis sympathique et aimable. Je déteste l'injustice et le « foutage de gueule ». Je suis "fan" d'Architecture, et d’histoire (surtout la Mythologie Grecque) mon premier jeu auquel j'ai joué dans ce style c'était les Sims. Je ne faisais que construire et encore construire des monuments, des maisons. Aprés j'ai découvert les Mmorpg. J’aime beaucoup lire, écrire, inventer. Un jour j'étais sur "Youtube" et je tombe sur une vidéo de Minecraft et là.. Révélation.. Ce jeu est un pur chef d’oeuvre ; il pousse votre imagination au bord du "suicide".
          Et blablabla je raconte ma vie x) Sinon en ce moment je suis en vacances, il fait beau et même un peu chaud (oui on s’en fout).
 
 
Moi et Minecraft:
 
- Mon pseudonyme sur Minecraft est Dedale83, pour ceux qui ne connaissent pas (akalliérgitos (Débile en grec)) Je plaisante ; C'est un personnage de la mythologie Grecque (un grand architecte).
- Je joue avec la version officielle de minecraft depuis l’été dernier et franchement je me souviens plus du tout c’était quel version.
- J'ai connu votre communauté en cherchant sur internet un serveur RP car le role play est ma passion. Inventer une histoire imaginer la vie du héros, tout ça c’est pure folie mais tellement génial.
- Je souhaite aider votre communauté à s'agrandir et si possible embellir le serveur avec des constructions.
-Racontons ma vie sur Minecraft : j’ai débuté sur un serveur privé avec un collègue de classe ou j’ai découvert la survie et les Crafts. Puis sur un autre serveur privé toujours avec la même personne ou là j’ai découvert le créative puis le plugin WorldEdit et presque toutes les commandes d’un bon administrateur. Puis on passe tous par la recherche d’un bon serveur (go google) mais j’ai beaucoup étais déçu de certains serveurs à cause de leurs manque de politesse, de maturité et d’autorité. En ce moment je fais parti d’une team d’architecte. Je m’occupe du terraforming à l’aide des plugins VoxelSniper et WorldEdit.
-J’ai trouvé l’IP de Claïria en cherchant sur Google tout simplement.
-D’après-vous, quelles sont les qualités requises pour être un bon joueur : Personnellement être un bon joueur débute par l’éducation c'est-à-dire la politesse, la gentillesse envers les autres joueurs. Puis vient l’esprit d’équipe, être toujours là pour les autres s’ils ont besoin d’aide et bien entendu les serveurs fonctionnent seulement si les joueurs s’amusent.
 
- Quelles sont vos attentes, tant au niveau du jeu que de la communauté : Avant tout je voudrais si possible et si vous avez besoin de moi vous aider dans tout ce qui touche à l’architecture que ça soit bâtiment ou naturel je me débrouille puis si vous n’avez pas besoin alors tout simplement jouer avec un staff à l’écoute et des joueurs matures.

Pour voir de quoi je suis capable je vous envois sur Minecraft.fr : www.minecraft.fr/forum/index.php?threads/dedale83-terraforming-architecte.73834/

- Avez-vous pris connaissance du règlement de Claïria, si oui, l’ approuvez-vous ? J'ai lu et j'approuve le règlement de Claïria.
Pré-requis supplémentaires :
-je possède un micro de bonne qualité.
-je pourrai venir sur le TeamSpeak du serveur sans aucun problème j’aime beaucoup parler pour rien dire d’extraordinaire mais je dis oui à de nouvelle rencontre.
-Oui j’ai un compte Skype mais c’est pour les intimes 
Mon RP
          Je me nomme Dédale fils de fermier. Originaire du petit village d’Erathia, j’ai travaillé toute mon enfance et quelques années de plus sur les navires, à les nettoyer et les astiquer. 
Aujourd’hui, dans mon époque, les gens ne pensent qu’à recevoir de l’argent de la part du seigneur car ils doivent lui donner une partie de leurs cultures. Je pense vraiment qu’il y a d’autres moyens de gagner de l’argent. Comme par exemple les mythiques nains des montagnes qui cachent leurs trésors. Dans un ouvrage, on parle d’un de ces trésors cachés derrière les montagnes que personne ne connaît l’existence car je suis le seul qui possède ce livre. Ne me demandai pas comment je me le suis procuré. Un beau jour, alors que je chassais la biche, celle-ci m’apparut au détour d’un arbre et me parla, oui elle me parla belle et bien… Je restais bouche bée. Elle me dit tout simplement bonjour, ça voix était douce mais avec des accents autoritaire qui me donne encore aujourd’hui des frissons quand je me la remémore. Elle me confia juste un livre. Elle disparue sans demander son reste. 
Mon entourage n’est composé que de personnes pauvres y compris ma famille et je souhaite partir à la recherche de ce trésor car je ne suis plus le bienvenue ici, j’ai d’étranges dons. Des dons merveilleux me dit ma mère mais c’est bien la seule… Ca fait déjà 16 ans que j’ai ce livre et 16 ans que je prépare ce voyage. Personne n’est au courant que je vais partir mais mon père savait que je m’entraînais à l’épée et à l’arc derrière le village dans la forêt. Lui croît que c’est pour devenir un homme ; Oui mais c’est aussi pour me défendre contre les dangers que je rencontrerai pendant ma longue quête.
 
          Le jour de mon départ approche et je dois vérifier si j’ai tout ce qui me faut pour ma quête. Il est 8h04, mon père et ma mère sont partis semer du blé. J’en ai profité pour partir discrètement au cas ou quelqu’un me demanderait ou j’allais. Le voyage sera long mais c’est pour le bien des gens de mon village que je mets en risque ma vie, sinon je sens qu’un jour j’exploserai de l’intérieure et je finirai par tuer certaines personnes. Au loin, je vis un cadavre de renard mort grignoté par ces oiseaux cannibales mais je n’y pris aucune attention car j’étais concentré sur mon objectif et le chemin que j’allais prendre. Je marchais avec fierté en direction de la forêt dans laquelle je me suis entrainé toutes ces longues années. J’entendais les oiseaux fredonner et je passais dans la clairière. Une douce brise caressait mon visage à cet endroit ce qui était agréable. Je n’étais jamais parti au-delà de cette clairière car mes parents me l’interdisaient car il y aurait apparemment le repaire des Loups, des loups guerriers, à la sortie de la forêt. Au fur et à mesure que je m’enfonçais dans la forêt, les arbres pourrissaient de plus en plus et la lumière se faisait de plus en plus rare. Je marchais avec en tête ce qui pouvait m’attendre lors de ce voyage.

          Tout d’un coup, en face de moi, je vis 2 lumières rouges au fond de la forêt, c’était un feu de camp et il se pouvait que ce soit le repaire des Loups et c’était possible car j’étais quasiment dans le noir complet. J’étais désormais sur que ce soit eux car en faisant une dizaine de pas de plus, il faisait moins noir. Je n’étais plus qu’à environ une vingtaine de mètres des Loups et l’odeur qui régnait était insoutenable et inqualifiable. Je fis mon apparition devant eux avec une main sur le fourreau de mon épée. Les Loups étaient plusieurs. Il y en avait un avec une sorte de couronne à plumes comme celles des chefs indiens alors que les autres étaient presque dévêtus. Certains étaient déjà blessés mais personne ne les soignaient. Ils avaient des petites lances de la taille mon épée. Quand ils me virent, étrangement, seulement un partit m’attaquer. Je sortis mon épée mais sa lance vint toucher mon épaule droite. J’avais un petit trou dans mon épaule mais cela ne m’empêchait pas de combattre, loin de là. Je lui donnai un coup d’épée en diagonale qui sectionna quasiment tout son corps. Le Loup capitula et tomba. Une fois celui-ci vaincu, les autres Loups y compris le chef se regardaient et avaient l’air de se parler. Le chef s’avança vers moi et poussa un cri, comme un cri de guerre. Il mit sa lance en avant et je compris de suite qu’il voulait me combattre avec sa lance. Si j’arrivais à battre le chef des Loups, je pourrais dire que je suis un excellent Épéiste. Ce Loup était bien plus agile et plus protégé que les autres. Il était aussi plus grand. Je parvins à me glisser derrière lui pour lui placer un coup d’épée dans le dos, mais il parvint à me blesser à là jambe, ce qui est très handicapant lorsqu’on combat. Le Loup fonça d’un coup avec sa lance pointée vers moi. Je réussis à rouler entre ses jambes. J’étais derrière lui, je sortis mon épée et une fois qu’il fut retourné, je transperçais son corps de mon épée. Au moment ou le chef des Loups tomba, je compris que j’avais un énorme potentiel pour devenir un grand combattant. Dans mon pays, les seuls combattants humains sont les soldats. Personne d’autre ne sait combattre. Les Loups étaient certains que leur chef allait gagner, effrayés, ils partirent au fin fond de leur grotte. 

          Il est 10h38, je pris mon sac et je sortis différentes potions. J’avais besoin de plusieurs potions de Reshram car j’étais blessé à une jambe et à une épaule et je souffrais. Une fois ces potions au goût atroces bues, je m’arrêtais à côté du ruisseau, bu l’eau. Puis je repris mon voyage vers le trésor. Je sortis enfin de cette forêt sombre pour arriver dans une grande plaine ensoleillée. En voyant tout les monstres qui grouillaient dans cet endroit, je compris que je ne passerais pas par là. Je pris par la gauche, coupa par la colline du pendu et suivi la route pendant une semaine.

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          Je fis halte dans un petit village elfe nommé Elorfindel. Je vins me reposer dans une auberge ou j’entendis à la porte des murmures. Je penchais la tête, appuyai mon oreille contre la porte en bois et écouta :

« - Mon brave compagnon, ne vous ai-je pas déjà reprochais que votre besogne était parfaitement bien faîte ? (cette voix me fis redresser comme jamais je mettais levé aussi vite. Je me cognai contre la poignée, sonnai je m’étalais de tout mon long sur le planché. Le bois déposa une plainte aiguë à ce sujet. La porte s’ouvrit et oui c’était belle et bien lui. Mon vieil ami, le Capitaine Ragnard, il m’aida à me relever et me prit dans ses bras. Notre étreinte ne dura que quelque seconde mais elle me réchauffa le cœur. Nous bûmes et mangeâmes en nous remémorant le bon vieux temps. Saoul comme des bœufs nous primes la discision d’allé nous coucher et nous parlerions demain matin. Je passai une bonne nuit de sommeil bercé par les grillions et le murmure du vent.
 
Le jour se leva, le soleil éclairait la lucarne de la fenêtre, j’allais au bain et méditais toute la matinée. Je descendis à la taverne ou j’avais donné notre tête-à-tête au Capitaine. Je m’assis à sa table lui serra la main et je mangeais avec lui en bavardant de tout et de rien. C’était un homme bon, il était réputé pour son éducation et sa profonde connaissance des mers. A la fin du déjeuné, je vis qu’il avait encore les joues rouges, il se tenait la tête et avait le regard vague.
« - Je pense que hier soir nous avons trop bu mon ami, me fais-tu assez confiance pour que je pose mes mains sur tes tempes ? » Lui fis-je remarquer. 

« -Oui bien sur, si tu peux me soulager je t’en pris, ma tête va exploser comme mes canons de mon navires et mes oreilles bourdonne comme les mouches sous mes cales. »

          J’appliquais ma magie bienfaitrice et un halo blanc se forma ou bout de mes doigts, je ressentis la curiosité de celui-ci grandir et je fermais les yeux lui appliquant ce baumes magique sur ses tempes. Content de mon travail je commandais deux pains chauds et du fromage. Je fis par au capitaine que je n’avais plus un sous dans ma bourse et il paya le repas. Nous partîmes visiter le port elfes pour nous dégourdir les jambes.
Ragnard me regarda longuement et me confia que certain de ses hommes étaient tombés malade du à une intoxication alimentaires. Je me dépêchais de le suivre et en appris plus sur son navire. Il se nommait L’archeron, je voulu s’avoir pourquoi l’avait-il prénommé ainsi. Il me dit très sérieusement :
« -Oh mon ami, cette histoire est plus longue que vous le pensiez. Un jour je vous la raconterai mais pour l’instant je vous en pris aidez mes hommes à guérir. »

          Nous marchâmes jusqu’à son bâtiment, je crois que c’était le plus grand des bateaux. L’archeron avait une coque lisse et le nombre de canon était impressionnant. Je montais sur le pont et descendis voir les compagnons du Capitaine. Ils étaient allongés sur des lits fait à la va vite. Les hommes étaient tous livides. Je me dépêchais de commencer mon travail et finis au crépuscule. Fatigué je retournais à la taverne, allais dans ma chambre et à peine la tête posait sur l’oreiller je m’endormis.

« -Houuuuuhouuuuuuuu »

          Je me réveillais en sursaut, la peur au ventre. Une voix fit vibrer les carreaux de la fenêtre de ma chambre. C’était une voix douce et autoritaire rempli de sagesse, c’était la voix de la biche mais la c’était un hibou…
« -Aujourd’hui est un nouveau jour. Tu as fais preuve d’une grande bonté envers toutes ces femmes et ces hommes que tu as sauvé. Je te remercie mais il te reste encore beaucoup à faire. Aide Ragnard , il t’amènera à Claïria. Là bas ton devoir constituera à aider toutes les races de tout les peuples. Trouve la source de tous les malheurs des citoyens. Je te confis mon crayon. Fais en bon usage… »
Sur ces Mots, je retombais sur la couchette et comme sous l’emprise de l’alcool, je retombais dans le sommeille.
Le lendemain matin je préparais mes affaires mis le crayon a mon oreille et partis rejoindre le Capitaine Reigzer. Nous passâmes plusieurs semaines sur une mer calme. Nous arrivâmes à Claïria cinq semaines plus tards.